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    de l’art de le choisir quand il devient trapu, de le déshabiller pour n’en voir que le tronc, de le nouer ensuite, le nœud caché dedans, sous la triple épissure, que le bambou serait un art, une métaphore, un monde entier en soi, ses accommodations, qu’il emmène rêver, qu’il donne à s’échauffer, jusqu’aux pousses qu’on déguste, et derrière la matière la trace d’une Asie


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