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    Allongée sur l'île du Pays des Iles,

    au vert océan,

    fourmis creusant sentes schisteuses,

    imagine que l'étire de ce nuage te mène au large



    la creuse, la creuse,

    invase



    Enfilées les heures

    à portée de loin

    d'un autre ciel,

    que celui qui frôle,



    et là,



    dans la Maison des Vents,

    y a des citrouilles énormes,

    une batterie au grenier,

    une commode à jupe de dentelle,

    les filaments de révolution,

    dans la Maison des Vents,

    des prises dégoulinant de fils japonais,

    une table de papier, sous le figuier,

    des taches à labyrinthes,

    les pixels rouges sur le gris des portes,

    dans la Maison des Vents, les paysages raconte,

    les mains à mime miment les reliefs,

    la voix drama les rivières.

    dans la Maison des Vents, les pagnes s'inversent,

    les Asies s'invitent,

    jazze et raconte un dernier court-métrage.

     

    Dans la Maison des Vents, un récit.

    A la Maison des Vents, console.

     

     


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    Renonce,

    A ronce le nom

    Où l’étincelle ?

     

    Erre ton manteau, ta valise

    Renonce, le begger.

     

    Au marteau de ta vie

    T’as cru,

    Les fils de fer ne mènent

    Qu’à seul,

    et seul c’est.

     

    N’est-ce pas que,

    l’illusion de,

    N’est-ce pas que,

    tes croyances,

    N’est-ce pas que.

    Superstition

    de ta modalité.

     

    N’est-ce pas que, tout à

    Lui, l’évidence, et il te sait ça,

    rien.

     

    Respirateur, ton respirateur

     

    Quoi ?

    La violence

    La dure dent du.

     

    Quand, les étincelles.

     

    Sidère, là.

     

     



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    L'orage quand il réveille,

    L'éclair quand il assaille,

     

    et puis

    le frais commerce.

     

    Puiser dans le vert la fraîcheur du jour.

     

    L'immobilité des arbres,

    en alerte d’un astre écrasant 

    ou gonflée des chutes incolores,

    conspire en silence.

     

    La mosaïque du vert sévère

    vérifie l’exacte métaphore.

     

    A nuages de vert, le ciel constate.

    L'immobile suspend

    l'immobile suspens.

     

    L'éphémère instant où la branche fait signe

    L'envolée d'une mouette perdue sur le canal.

     

    Et puis la vie

    Reprend son nid,

    la traînée de son d'un avion invisible,

    les cahots d'un train brinquebalant.

     

    Et les chaos d'un train misèrent sur la plage inlassable.

     

    Bâtir le mur de briques incertaines

    La poésie trébuche,

    les mots hésitent encore,

    du poème ou du sens.

     

    Au miroir de son ombre

    tremble l'onde.

     

    Les lierres se lèvent

    au vert d’un balcon-paysage.

     

     

     

     



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    Papillon, ne pas piller, les couleurs,

    Papillon, le Vulcain, le Paon du jour,

    le Maochan, l’Arcus bleu

    A papillon et demi, n’est que sa moitié,

    Le papillon n’est que sa moitié, symétrie,

    Il faudrait deux papillons pour en faire un plein,

    Enchâssés, sur la cornière,

     

    Pas pillons, allons en faire un plein,

    un qui se rentre dedans, un qu’on articule

    Comme le mot papillon, à deux ailes, du papi et de l’ion,

    Sont longs en feu les éphémères,

    Et au milieu coulent les L,

    Pape, Illion, une Ille-et-Vilaine,

    un marché délice avons déclamé

     

    Papillon, ne pas plier, les candeurs,

    Un exercice d’enfant je couche mes crayons,

    Et sur la tranche je plie le papier

    A papillon moitié, moi pas pie de ton long

    Pas, pas, pas, pas, pillons, les mots, les livres, les images,

    les villes, les paysages, ton

    le goût sur mes papilles,


    papillomavirus, addiction,

    tu m’as vue, t’as pas pu, pas su non plus, pas tout de suite,

    pas lion, papillonnant sans plus,

     

    Papier long, à mon peuplier arnachée, je suis ton aile,

    à toi christallydée ?

    ta face dans ma face,

    Je sors, ma gangue dépliée, pas pile, dont

     

     

     

     

     



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