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Par Anthropia le 3 Août 2013 à 13:04
crédit photo anthropia # blog
Allongée sur l'île du Pays des Iles,
au vert océan,
fourmis creusant sentes schisteuses,
imagine que l'étire de ce nuage te mène au large
la creuse, la creuse,
invase
Enfilées les heures
à portée de loin
d'un autre ciel,
que celui qui frôle,
et là,
dans la Maison des Vents,
y a des citrouilles énormes,
une batterie au grenier,
une commode à jupe de dentelle,
les filaments de révolution,
dans la Maison des Vents,
des prises dégoulinant de fils japonais,
une table de papier, sous le figuier,
des taches à labyrinthes,
les pixels rouges sur le gris des portes,
dans la Maison des Vents, les paysages raconte,
les mains à mime miment les reliefs,
la voix drama les rivières.
dans la Maison des Vents, les pagnes s'inversent,
les Asies s'invitent,
jazze et raconte un dernier court-métrage.
Dans la Maison des Vents, un récit.
A la Maison des Vents, console.
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Par Anthropia le 29 Juillet 2013 à 19:47
crédit photo anthropia # blog
Renonce,
A ronce le nom
Où l’étincelle ?
Erre ton manteau, ta valise
Renonce, le begger.
Au marteau de ta vie
T’as cru,
Les fils de fer ne mènent
Qu’à seul,
et seul c’est.
N’est-ce pas que,
l’illusion de,
N’est-ce pas que,
tes croyances,
N’est-ce pas que.
Superstition
de ta modalité.
N’est-ce pas que, tout à
Lui, l’évidence, et il te sait ça,
rien.
Respirateur, ton respirateur
Quoi ?
La violence
La dure dent du.
Quand, les étincelles.
Sidère, là.
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Par Anthropia le 26 Juillet 2013 à 11:34
crédit photo anthropia # blog
L'orage quand il réveille,
L'éclair quand il assaille,
et puis
le frais commerce.
Puiser dans le vert la fraîcheur du jour.
L'immobilité des arbres,
en alerte d’un astre écrasant
ou gonflée des chutes incolores,
conspire en silence.
La mosaïque du vert sévère
vérifie l’exacte métaphore.
A nuages de vert, le ciel constate.
L'immobile suspend
l'immobile suspens.
L'éphémère instant où la branche fait signe
L'envolée d'une mouette perdue sur le canal.
Et puis la vie
Reprend son nid,
la traînée de son d'un avion invisible,
les cahots d'un train brinquebalant.
Et les chaos d'un train misèrent sur la plage inlassable.
Bâtir le mur de briques incertaines
La poésie trébuche,
les mots hésitent encore,
du poème ou du sens.
Au miroir de son ombre
tremble l'onde.
Les lierres se lèvent
au vert d’un balcon-paysage.
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Par Anthropia le 24 Juillet 2013 à 22:56
crédit photo anthropia # blog
Papillon, ne pas piller, les couleurs,
Papillon, le Vulcain, le Paon du jour,
le Maochan, l’Arcus bleu
A papillon et demi, n’est que sa moitié,
Le papillon n’est que sa moitié, symétrie,
Il faudrait deux papillons pour en faire un plein,
Enchâssés, sur la cornière,
Pas pillons, allons en faire un plein,
un qui se rentre dedans, un qu’on articule
Comme le mot papillon, à deux ailes, du papi et de l’ion,
Sont longs en feu les éphémères,
Et au milieu coulent les L,
Pape, Illion, une Ille-et-Vilaine,
un marché délice avons déclamé
Papillon, ne pas plier, les candeurs,
Un exercice d’enfant je couche mes crayons,
Et sur la tranche je plie le papier
A papillon moitié, moi pas pie de ton long
Pas, pas, pas, pas, pillons, les mots, les livres, les images,
les villes, les paysages, ton
le goût sur mes papilles,
papillomavirus, addiction,
tu m’as vue, t’as pas pu, pas su non plus, pas tout de suite,
pas lion, papillonnant sans plus,
Papier long, à mon peuplier arnachée, je suis ton aile,
à toi christallydée ?
ta face dans ma face,
Je sors, ma gangue dépliée, pas pile, dont
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