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REFORME ou réforme
Djamel Kokene
Nous
Galerie Anne de Villepoix
Fiac 2009
Crédit Photo Anthropia
Cela ne vous frappe pas, vous, les différences
entre les réformes de Sarko et les REFORMES de Barak ?
Une grande REFORME, promesse de campagne,
réalisée en prenant le temps,
associant le parlement à toutes les étapes.
Des réformettes, faites à la va-vite, sans penser,
avec oukazes aux parlementaires de droite de les appliquer.
Des réformes dévotées, comme si le Parlement n'existait pas.
Une grande REFORME, sociale, pensant au peuple.
Des mini-réformes privilégiant les riches
ou des réformes saignant à blanc le peuple
ou déconstruisant le modèle social.
Une REFORME dont on signe le lendemain les décrets d'application.
Des réformes sans décrets d'application, ou avec des décrets inapplicables.
Sauf pour les réformes avantageant les riches, bien sûr.
Et tout ça faute de valeurs, de colonne vertébrale chez l'un
Et tout ça parce l'autre a une vision et qu'elle le mène.
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Commentaires
Idem
Je suis concernée directement par la langue allemande, ce serait raconter ma vie que de le dire ici, mais j'ai pleuré en lisant la seule page importante de Thomas Mann dans Docteur Faustus, sur la défunte allemanitude.
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Comme je ne poste plus chez Soupline, Dieu m'en garde à jamais, ce blog étant tombé dans l'abjection du voyeureisme de pas mal de contributeurs, e n'y viens que pour lire. Et j'ai lu ,ce matin ,votre très intéressant petit post sur KM et TM et la langue allemande. A mon modeste niveau, j'ai eu maille à partir avec l'allemand. Je m'explique: comme vous le savez, je suis fils de Georges-Arthur Goldeschmidt, grand germaniste devant l'Eternel. Tout naturellement, enfant, l'allemand était ma seconde langue maternelle. Elle coulait de source. Elle coule toujours de source.Mais , en devantn adolesceent puis jeune adulte, j'eus lo'ccasion d'observer chez mon père, une hostilité croissante à la perpétuation de cette langue, qu'au fond, il s'en est souvent expliqué dans ses livres,on lui avait arrachée du gosier. La langue des allées de hêtres de l'Allemagne de Weimar. J'ai donc un rapport étrange avec cette langue que je parle aussi bien (ou aussi mal!) que le français. Le sentiment que je "vole" d'une certaine manière ce qui aurait dû apparteniir à mon père. De surcroît, vivant avec une femme allemande, disons que ça a un peu plus compliqué les choses. Mais j'aime cette langue. Et je vous remercie encore d'avoir écrit le seul poost intelligent dans ce foutoir qu'est devenu la République du Bling-Blinng. Moi, j'ai renoncé. Fourbu, et amer aussi que le taulier, qui a vu partir pas mal de ses vieux "loups de mer" n'ait pas fait grand chose pour les convaincre de rester. Ce qui prouve la petitesse extrême du monsieur. Enfin la nave va !!!! Bàv Màc