• S comme solitude

     

     

    comment en nait le sentiment, est-ce la littérature dans le huis-clos de la lecture qui en aurait accru la prégnance, ou le sait-on de longtemps que l’appel du regard, les mains tendues en vain nomment la butée d’un monde indifférent, barrière qui jamais ne cède, et puis zip, c’est l’ouverture-éclair, moments de plénitude, coups de fil chaleureux, un amant, un enfant, et on sait que la solitude n’est qu’état transitoire, étape d’un récit qui nous accompagne, l’histoire de nos rencontres, la forme de nos échanges, ce qu’on s’en dit, le quant-à-soi du quant à nous


  • Commentaires

    1
    RAVEN
    Mardi 20 Septembre 2016 à 12:20
    Je partage entierment le ressenti de ce moment S comme dans le dernier livre de Céline Minard. Eric
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    2
    Anthropia
    Mardi 20 Septembre 2016 à 12:28

    Merci, Eric Raven, n'ai pas lu le livre de Céline Minard, ça donne envie

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