• Travailler, c'est la liberté ?

     

    Travailler, c'est la liberté, clame haut et fort le clip TV sur le travail durant la campagne de Sarkozy.

    Et tout à coup, cela fait tilt. Arbeit macht frei. Le travail rend libre. C'est ce qui est écrit au sommet des portails des camps d'extermination. Travailler, c'est la liberté, nous dit Sarkozy. Mais quelle liberté ? On n'a ni la liberté de travailler, ni vraiment la liberté de ne pas travailler. Alors, de qui dépend donc notre liberté ? Des patrons s'ils veulent bien nous en donner du travail ou nous donner des heures supplémentaires ?

    On dit que les blogs reviennent toujours au point de Godwin, nazisme et hitlerisme, après un certain nombre de commentaires. Mais ici, c'est le Godwin Point de Sarkozy, qui est atteint. Quels ténébreux slogans est-il allé chercher ? Pour quels obscurs désirs mortifères ?

    Il a aussi dit que nous n'avions pas le bon logiciel, nous, les Français, et qu'il allait nous reformater.... nous re-mater... nous mater.

     


  • Commentaires

    1
    Mardi 8 Mai 2007 à 22:28
    Pas de chance
    hein d'avoir élu un flambeur, qui va bien s'amuser sur votre dos pendant cinq ans. Et oui, vous vous êtes faits couillonnés. Il vous a eus. Moi et mes amis, nous l'avions deviné. Mais pour vous cela doit être terrible. Cocu, dès le premier jour. Cela ne le fait pas, hein ?
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    2
    Mardi 8 Mai 2007 à 22:28
    Pas de chance
    hein d'avoir élu un flambeur, qui va bien s'amuser sur votre dos pendant cinq ans. Et oui, vous vous êtes faits couillonnés. Il vous a eus. Moi et mes amis, nous l'avions deviné. Mais pour vous cela doit être terrible. Cocu, dès le premier jour. Cela ne le fait pas, hein ?
    3
    Mardi 8 Mai 2007 à 22:31
    A propos
    Je travaille énormément, peut-être es-tu intéressé par un partage du travail avec moi ? Non ?
    4
    Arnaud
    Mercredi 9 Mai 2007 à 17:18
    La liberté d'expression ne s'use que si on en abuse
    Anthropia, je suis désarmé devant tant d'irresponsabilité et d'irrespect, vraiment... Et croyez-moi, je pèse mes mots, ce qui ne semble pas être votre cas. J'espère que vous ne réalisez pas vraiment ce que vous dîtes. Si tel n'est pas le cas, alors vos propos sont tout simplement scandaleux. Les victimes et martyres de cette période sombre de notre pays, jonchée de drames à l'échelle de l'Humanité, doivent s'en retourner dans leur tombe, d'entendre de telles énormités ! Vous salissez notre Histoire et vous mettez en danger la liberté d'expression (oui, celle-là même que vous prétendez défendre en nous assénant votre pensée unique aux allures de dictature moralisatrice), en piétinant allègrement ces références historiques essentielles au respect de notre devoir de mémoire. En outre, j'ai eu la curiosité de parcourir vos billets les plus récents, laissez-moi vous dire à quel point je vomis votre prose de soixante-huitarde attardée, vos idées convenues et manichéennes, vos propos rancuniers, railleurs, votre dogme liberticide. Ils représentent tout ce qui m'a fait fuir la gauche socialiste, celle qui nourissait mon espoir naguère, celle que j'aurais soutenu de toutes mes forces si elle n'avait été prise en otage par les arrivistes bien-pensant et autres bobos de tous poils. Je ne sais pas si vous vous considérez comme intellectuelle ou artiste, mais de mon point de vue vos billets ne sont dignes ni de l'un ni de l'autre. Vous manquez bien trop d'esprit critique et de talent !
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