• Une rencontre portugaise au Salon de Montrouge

    Sarah Bernardo

    Disembody 2009

    Portugal

    Salon de Montrouge 2011

    Crédit Photo Anthropia

     

     

    D'aluminium et d'acrylique,

    la gaze, vague réminiscence d'un sang impur,

    le tissage des femmes, la menstrue,

    nulle part chez un artiste,

    je n'aurais pu voir 

    l'aigrette se percher,

    une artiste, seulement une femme,

    a capté cet instant fugace,

    a transposé ce moment de stupeur,

    l'initiation à l'événement et au perpétuel mouvement,

    continu, discontinu.

     

    Ma vie décrit le grand Huit,

    les ronds sur l'eau de mes ans

    le cycle depuis longtemps,

    chaque mois, à chaque tour,

    sans détour.

     


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :