• a fresco

    crédit photo anthropia # blog

     

    L’appelle Bordel Monde, parfois Bordel Immonde, quelqu’un m’a dit tu pourrais aussi dire Inique pour parler de cette saleté de monde, mais sur les murs de ma ville e-nique, on le garde pour la bonne bouche, quelque part entre la poire et le fromage, c’est bon pour les cordes vitales, les cordes qu’on vibre avec conscience tous les jours que Nick fait et il nique bien le Nick, mon prestidigitateur à moi, trop le mec, pas un vicomte, ni un comte, un Prince qui m’pince, un Prince qu'on sort parfois et qui revient, et même un Prince Lu, qu’on mange avec appétit dès qu’il ouvre la boîte, et il se laisse bien faire, même donne des idées, trempe son biscuit avec célérité et parfois enthousiasme, chez nous le virtuel on l’aime vir, et même vrille, en tout cas vie, et on s’occupe pas de « tuel », ni tue, ni elle, on n’a pas le temps, trop occupés à nous rouler dans le sable, le chatouillis du sable qui trouve toujours le chemin indiscret, on en « conte » (sic, sic et dix de der) les grains avec patience,  il en faut pour ce magnifique château qu’on s’édifie à force de seaux et d’eau, nos solos, c’est ça qu’on improvise sur la plage et ailleurs, de la beach music, et pas le temps pour les sons of a bitch du monde.

     

     

     

     



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