• Voyage

    Reiko Koga

    Galerie Nivet Carzon

    crédit anthropia # blog

     

     

     

    La caresse d'une octave traversée à longues foulées

    à biaiser la couleur de japonaises quintes

    d’un Mont Fuji la mélancolie,

     

    crépusculaires chaires à cornets bouchés

    syntagmes en échappée musicale,

    le pas de côté d'une cordée

     

    le gong coupe

    et relance à frémissements de tôle

    le clavier déploie son jeu d’ailes noir et blanc

    anicroches que pique le bout des doigts

     

    et le balais fouille la matière à feu doux

     

    sur le fil de bois une assurance égrène

    les flammèches de si à do dièse

    d’un incendie sans cesse reporté

     

    les cordes enveniment à bas bruit

    et toujours la caisse amortit et meurt

     

    qu’émerge la trompe et son sifflement d’air

    un instinct aussitôt vient la subordonner

     

    constant recommencement

    d’une impression à miroirs,

    le jazz passe, manque, avance et s’efface

     

     

    à Dave Brubeck

     

     

     


    votre commentaire
  • Panda d'après nature

    Construction insolite

    Saint-Sever du Moustier (Aveyron)

    crédit photo anthropia # blog




    2

     

    J'ai ramassé un marron sur le sol.

    Il n'était pas sous un marronnier.

    Alors j'ai pensé qu'un enfant

    l'avait perdu là.

     

    La matière, pas du bois,

    mais le compact

    qu’un ongle n’entame

     

    qu’il le quitte

     

    renonce-t-il

    qu’il l’oublie

    qu’il le chute

    le gamin

    traversé

     

    Son trésor à la main

    il le lâche

    quel os à pensée aura

    consistance plus immédiate

    texture plus dense

    vernis plus impénétrable

     

    quelle poursuite d’autre objet

    quelle tentative

    d’où jaillit la fuite comme une source

     

    ou peut-être la négligence d’une poche qui

    un poème

     

     

     


    votre commentaire
  • Merci de me signaler le nom de l'artiste

    Musée des arts buissonniers

    Saint-Sever du Moustier (Aveyron)

    crédit photo anthropia # blog

     

     

     

    1

    J'ai ramassé un marron sur le sol.

    Il n'était pas sous un marronnier.

    Alors j'ai pensé qu'un enfant

    l'avait perdu là.

     

    La surface lisse dans ma paume

    m’a emmenée dans le verger

    où la rosée menaçait

    les sphères aréolées

     

    levant ma jupe chargée de leur brassée,

    je rejoignais l’atelier où je collais

    l’une sur l’autre les bogues griffues

    et leur fruit défendu

    de cette stérilité qu’on ne grillait pas au feu

    je ne pouvais faire qu’œuvre

     

    celui de ce matin

    n’a été délivré

    que dans le hasard d’une chute

     

    et délivré est beaucoup dire

    il avait échappé d’une table bleue

    dans l’automne pluvieux,

    la blouse d’un gamin

     

    ce n’était rien pour moi

    juste un oubli et dans l’interstice

    d’une pensée rêveuse

    quelqu’un m’a fait la joie

    d’une réminiscence.

     

     

     


    votre commentaire
  • Body Techniques

    (after A line in Ireland, Richard Long, 1974),

    2007/Série de 8 photographies

    Carey Young

    Exposition au Quartier (Quimper)

    crédit photo anthropia # blog

     

    Tentative pour un CV de pensée valorisant la vie de l'esprit, ce qui m'a marqué

     

    Qu’est-ce que je faisais en 1983 ?

    La bifurcation, c’est sans doute là qu’elle a eu lieu.

    J’étais partie pour la création, cinéma à Besançon –ce film sur les mains au travail, un montage de mains d’ouvriers, de potier, etc., et puis l’analyse filmique avec cette élève de Langlois et histoire de l’art-, puis à Montpellier à Paul Valery (souvenir surtout de chanter dans les restaurants), puis l’Allemagne avec cette année de musique, puis retour à Paris, travail avec RV sur projet dictionnaire des "Noms de pays", sur un projet de constitution écologique, les combats anti-nucléaires, Plogoff, la coopérative bio du XVème, la période vivifiante avec les amis, Jean, et là Paris VIII, de 1981 à 1984, Licence, maîtrise et DEA, juste avant connu les cours de Deleuze en 1980 à Vincennes, les gens assis dans le couloir, on n’entendait pas bien, ça faisait un peu trop gourou pour moi, juste avant le déménagement de Vincennes à Saint-Denis, souvenirs marquants les cours avec Ludovic Janvier, ceux avec Hélène Cixous (sur la pelouse du Château de Vincennes le samedi avec les traductions provisoires des textes de Clarice Lispector) et puis Marie-Claire Boons sur Lacan (lu les Fragments d’un discours amoureux), étudiante travailleuse, et là chansons, groupe, tours de chant en cabaret et en maisons de la culture, l’ArTanière aussi rue de la Glacière, ce lieu où j’ai rencontré Bernard Haillant, sa poésie, trois passages en TV (n’aimais pas les gens creux, le temps à attendre dans la coulisse pour passer une chanson).

    1983, c’est la bifurcation amoureuse, rencontre de JB (en fait, interviewé deux ans avant pour les besoins d’une émission). L’écriture dans la revue Types, le numéro qui invitait des femmes à écrire, les groupes mixtes où on passait des heures à réinventer les relations hommes/femmes, post-féminisme radical, jamais été ma bataille, Psychanalyse & Politique, on disait Psychetpo, pas ma position, en écho aux manifs quelques années plus tôt, la tentative de créer un centre avortement-contraception à l’Hôpital Saint-Antoine, l’échec, la comparaison avec l’Allemagne où on avait mis à peine un an pour en créer un à Mannheim, quelle différence dans le dialogue avec les élus, on était pris au sérieux là-bas, la bataille pour Bercy aussi, bataille pour sauver le vieux village, la chanson sur France Culture, gagnée, pour se voir imposer le POPB Bercy, on a échappé au centre commercial en hauteur voulu par Giscard mais en échange les ridicules façades de gazon sur la pyramide aztèque se moquant de nos élans et le mode de tonte du gazon, ont osé inventer les tondeuses à filins, et on a finalement eu le centre commercial dans les pavillons eux-mêmes, finalement on l’a perdue, cette bataille-là, comme les autres avant nous avaient perdu celle des Halles, et puis Radio-Tomate, les émissions « Du rêve sur la planche », le CINEL avec Guattari, les cours rue de Condé, sais plus, confonds avec les soirées chez Régis –même rue ?- beaucoup plus tard autour de l’élaboration des Cours de médiologie générale, et du projet qu’on avait fait pour l’Expo de Séville, croisé certains soirs Bernard Stiegler, avant d’aller à sa soutenance de thèse, souvenir de Régis dans sa cuisine en train de dire qu’ils se faisaient signe avec Félix de cuisine à cuisine à travers la cour, peut-être que c’était rue de Tournon qu’on se retrouvait, souvenir du grand divan où on se mettait les uns à côté des autres les jambes repliées en tailleur et souvenir de la soutenance de Régis, le grand tra-la-la intellectuello-bourgeois parisien.

    Un pedigree, sans doute, mes tatouages, qui ont fait que j’ai pu résister presqu’une décennie, élevage de bébé qu’on dit, ma belle réussite, jamais regretté, dix ans pour digérer les expériences tous azimuts, dix ans pour éviter de l’intérieur d’une boîte l’envoi à Cherbourg, passage obligé des jeunes consultants, dix ans pour préparer l’écriture, puis trois romans jamais édités. Heureusement qu’il y avait la lecture pour tenir dans l’aridité de ce monde où j’ai œuvré, fait une carrière comme on dit, tenté l’anthropologie sociale pour y comprendre quelque chose à ce monde d’hommes de la technique, créé ma SARL, s’appelait Moderato ou Tarquinia ou peut-être bien Stein, j'oublie, c'était il y a si longtemps, (mon test c’était les clients capables de dire le titre entier, il ne s’en est trouvé qu’un pour me le dire, mon chouchou), et surtout fait une longue psychanalyse, cinq ans de lecture de la bible avec les psys, quelques morts sur le chemin, fréquenté les rabbins intellos aussi, Lévinas un peu, avant qu’il ne meure, Bernheim très peu, Ouaknin davantage, puis un an de tentative approfondie chez les massortis, cherché mes racines en Allemagne (notes, photos, journal, de quoi alimenter un bouquin), dix ans pour aboutir à l’art contemporain, puis dix ans encore pour faire la synthèse de ce qui comptait pour moi, pour arriver à ce qui de toujours a été mon point de départ, écrire, mais comment. L’aventure du blog. Un mort sur le chemin. L’achat et la décoration d’un appartement. Et puis l’arrivée à Proust. Voilà.

    Un détour, mais qu’est-ce que t’as fichu tout ce temps, un détour, tant de choses à traverser pour avoir l’esprit libre.




    votre commentaire
  • Construction insolite

    Saint-Sever-du-Moustier (Aveyron)

    crédit photo anthropia blog # org

     

     

    Samedi

    Avoir vu à Quimper, cette fin d’été, l’atelier de l’artiste plasticien, Thorsten Streichardt, regardé les pages, les crayons, les structures métalliques, les enregistreurs, tous ces outils pour réaliser la performance à l’IRCAM, et découvert lors de la Nuit Blanche à Paris comment la particularité d’un lieu magnifiait le tout, comment cet étonnant logiciel construit pour lui par un ingénieur de l’IRCAM amortissait le son, le transformait gardant davantage la structure rythmique que les notes, le public passant à l’étage devant un bouquet de micros placés sur le chemin caquetait, chantait, parlait, et à partir de ces bruits dévalant la pente de l’escalier par des câbles invisibles l’artiste au sous-sol composait en direct à l’aide de son propre instrument, celui de ses crayons de papier à même le kakemono disposé en fleur sur la forêt éclatée des barres chromées, le double sens d’une œuvre sa musique et sa réalisation plastique. Prolongement de l’étroite piste que trace cet homme, au plus juste d’un art à mi-chemin entre le conceptuel et le sensible, ici du physique et du sensuel où la mine de plomb gratte la matière du papier en rythme, l’objet représenté étant tout autant la musique obtenue que la sculpture-dessin représentée par les hachures sur la nappe circulaire faisant le tour de l’objet, et associant dans le même temps l’émetteur et le récepteur qu’est le public.

    Lui-même, altier dans sa jupe de cuir marron et son pull over blanc, prolongeant la « mise en scène ».

     

    Lundi, mardi, mercredi

    Sacrifié au protocole du trois jours par mois, regrouper les jours pour libérer du temps. Incursion dans une ville de banlieue, puis une ville inconnue bien sage et « proprette », gens sympas, avais umshalté dans ma tête.

     

    Jeudi

    C’est ça qui m’est difficile depuis cet été j’apprends à vaquer d’un cerveau l’autre, j’ai physiquement cette impression d’aller de ma tête rationnelle à ma tête créatrice, au début ça me prenait beaucoup de temps, il me fallait un SAS de décompression, je me sentais rouillée dans l’art du va-et-vient, comme une douche au sortir d’une salle des machines d’une centrale nucléaire, mais ça va de mieux en mieux, j’apprends à le faire plus vite, d’autant que pour la structuration des textes, il y a nécessité de l’aller-retour en permanence (analyse/synthèse).

    Apprendre à structurer le temps, pour le site, pour l’écriture, pour la lecture, freiner mes chevaux aussi, l’émotion tellement forte.

     

    Vendredi

    Voilà j’y suis-je m’y mets vraiment, et bien entendu le texte que j’avais décidé d’écrire passera après, que ce qui vient est l’autre montage, celui d’Anchorage, parce que celui-là est à finir, fermer cette page-là qui vient sans cesse polluer l’autre texte, finir la grande scène, réussir la finesse du montage cubiste, mon Demoiselle d’Avignon à moi, Vous/Je/On/Tu, la face, le profil et la nuque dans le même visage-texte.

     

    Et le soir testé les derniers poèmes au Café-Poésie de Fontenay et les gens aiment, ça va.

     

    Samedi

    BPI Expo Claude Simon. Y aller pour comprendre quelque chose de sa combinatoire, comment il se sort de l'enchevêtrement, du sens du passage par la couleur pour figurer le tout. Me disais qu’avec Scrivener, il aurait été aidé sans doute dans sa collection de bribes, de fragments, d’extraits. L’écriture à paragraphes comme résultante provisoire. Mon problème, le montage des demi-lignes.

    Emue par le petit carnet de sa grand-tante jurassienne, me rappelait celui de ma grand-mère conservé quelque part dans la maison.

    Tant aimé la longue liste des chevaux, un poème, et tellement de ces détails techniques, à partir du grand cahier de l’ancêtre maternel.

    Et les cartes postales d’Histoire, une correspondance, comme une preuve par neuf de ces collages dans le récit, encore frais dans ma tête.

     

    Samedi (c’est trop parfois deux expos la même journée) 

    A la Galerie Air de Paris, vu les 136 drawings de Mrzyk et Moriceau, série de dessins sexuels, savoureux.

    Revu le The Queens of the amazons and Achills de Dorothy Ianonne, plus clair que sur ma photo, (l'oeuvre coûte 16 000 euros, aïe) et d’autres dessins.

    Vu aussi le travail, Free Poetry, d’Allen Ruppersberg sur une phrase de Lautréamont nous invitant à composer notre propre poème en image : j’ai sélectionné cinq pages parmi une vingtaine, dûment homologuées par la galeriste, couverture et tampon à l’appui, et suis repartie avec mon « œuvre » sous le bras.

    J’ai assisté à la construction de la structure de bois par Hugues Decointet, « Drama Vox, petit théâtre de voix », sur fond de textes étranges, la lumière finale allumée dans le théâtre de voix avait quelque chose de magique (une lanterne, un théâtre et des voix de théâtre tout ça avec le monteur des pièces de bois).

     Je cite ci-après le texte de Marylène Malbert.

    « Frappé par la description de la voix de Samuel Beckett dans Les vies silencieuses de Samuel Beckett (Nathalie Léger, éditions Allia, 2006), HD sollicite comédiens, metteurs en scène et autres personnalités engagées dans le théâtre pour qu’ils décrivent la voix d’auteurs dramatiques contemporains dont ils étaient proches. A partir de ces témoignages d’une grande richesse, l’artiste isole les vocables servant au descriptif de la voix qu’il imprime sous forme d’index. Par ailleurs la matière sonore accumulée –un ensemble de didascalies vocales- est montée par HD de façon à dresser le portrait syncrétique de la voix d’un personnage de théâtre imaginaire. Restait à trouver la « mise en scène » adéquate pour diffuser cette polyphonie descriptive.

    C’est le bois que l’artiste choisit comme support au son sous la forme d’une construction modulable. Ni performance, ni pièce radiophonique, Drama Vox se présente littéralement comme un « petit théâtre de voix ». Un machiniste met silencieusement en mouvement des objets depuis lesquels sont diffusés des fragments de descriptions : un dialogue se crée entre la « silhouette vocale » et la pensée à voix haute du machiniste qui surgit elle aussi du dispositif, pour raconter en contrepoint la difficulté de décrire une voix. La manipulation des objets de bois qui renferment la matière sonore fait émerger le portrait vocal et révèle peu à peu une architecture. Son format réduit nous situe toutefois du côté de la maquette, qui n’est autre que la projection utopique d’un théâtre selon HD.

    Le lieu où la voix de l’écrivain s’abandonne au jeu des comédiens se dessine ainsi schématiquement, Drama Vox est un prélude au spectacle, à l’œuvre théâtrale même».

     

    Ce qui me frappe dans cette oeuvre, c’est la machinerie, faire œuvre de représentation sur le travail qui sert de substrat à la représentation, montrer le théâtre en construction, les pièces du kit en bois peu à peu assemblées, l'enchaînement des sons, leur double niveau de sens, la description des voix des auteurs par les acteurs plutôt que leurs textes-mêmes, l'interférence avec les constats du machiniste, c’est donc paradoxalement une déconstruction de l’acte de la représentation qu’est le théâtre, une mise en abyme vertigineuse du rôle de l'acteur et de l'auteur, un accent mis aussi sur l’oralité mais pas celle voulue par les écrivains cités ici (Besset, Duras, Gatti, Cixous, Ionesco, Novarina, Blin, Cadiot, Sarraute, Césaire, etc.). Illustration d'une certaine aporie du théâtre ou mise en impasse des textes dans cette instance de mise en scène ?

    Et me retrouve avec ce que dit Claude Simon dans sa conférence « Littérature et Mémoire » à propos du texte de Stendhal sur le Col du Saint-Bernard et de cet épisode où le narrateur à cheval avait peur de verser. L’auteur ne tente pas d’évoquer son propre souvenir de guerre, ou plutôt il se sert d’une gravure qui illustre la scène pour trouver les plans à décrire, gravure dont il n’épuise pas les détails de ses descriptions, nous dit Claude Simon, dont il ne prend que quelques bribes, rêvant aux mots qui auraient pu être ceux de J-J. Rousseau pour décrire une telle scène. L’événement lui-même finalement pris dans le prisme de quatre filtres, celui de son souvenir lié à une émotion, la peur, celui des images de la gravure qui propose un cadrage, et dont il sélectionne –nouveau filtre- justement ce qui se relie à son souvenir, et celui qu’il projette de ce qu’un Rousseau en aurait fait. Ou de la construction d’un temps de l’écriture qui fait toute l’obsession de Claude Simon.

    Comme ici il me semble, l’interrogation d’Hugues Decointet sur ce que serait l’espace ou le temps ou du comment la représentation dans l’œuvre contemporaine, proposant ses outils, son support, son propre périmètre, un lieu à soi. Que serait là finalement l’objet de la recherche en art.

    Et pensé aussi à cette note manuscrite de Claude Simon dans la marge de Le Temps Retrouvé de Proust (page 243 de sa version de poche) « très discutable » à propos d’une phrase marquée d’un signe ondulatoire tout du long, « De sorte que la littérature qui se contente de « décrire les choses », d’en donner seulement un misérable relevé de lignes et de surfaces, est celle qui, tout en s’appelant réaliste, est la plus éloignée de la réalité, celle qui nous appauvrit et nous attriste le plus, car elle coupe brusquement toute communication de notre moi présent avec le passé, dont les choses gardaient l’essence, et l’avenir, où elles nous incitent à le goûter de nouveau. C’est elle que l’art digne de ce nom doit exprimer, et, s’il y échoue, on peut encore tirer de son impuissance un enseignement (tandis qu’on n’en tire aucun des réussites du réalisme), à savoir que cette essence est en partie subjective et incommunicable».

    Et comme l’impression que Claude Simon y a aussi renoncé d’une certaine façon à la "réussite du réalisme", alors pourquoi ce « très discutable ».

     

    PS : et probablement la question de l'enregistrement dans tout ça, la reproduction mécanique ou pas, l'usage des robots, des logiciels, de la peinture, simples outils ou subvertive utilisation des extraits.

     



    votre commentaire