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Par Anthropia le 4 Octobre 2009 à 18:24
JR
Women are heroes
Pont sur les quais de la Seine
Crédit photo Anthropia
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Par Anthropia le 2 Octobre 2009 à 11:05
Allan McCollum and Allen Ruppersberg
Sets and collection 8-1014
2005-2008
Galerie Air de Paris
Crédit Photo Anthropia
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Par Anthropia le 2 Octobre 2009 à 11:03
Allan McCollum and Allen Ruppersberg
Sets and collection 8-1014
2005-2008
Galerie Air de Paris
Voici le fruit de la rencontre de deux artistes.
"Le premier compose des shapes selon un mode combinatoire,
mais pas informatique pour autant,"
des formes faites en série mais toutes différentes,
"autant que la terre comptera d'habitants en 2050".
Le second invente des dispositifs de présentation,
dans une oeuvre précédente,
Never Ending book 2005, il fournissait des documents imprimés
et permettait aux spectateurs de composer un livre unique.
Nous avons ici la rencontre de ces deux méthodes,
des formes toutes uniques
mais identifiables dans leur côté sériel,
créant des suites, à l'aide de dispositifs composites,
tous originaux mais créant de l'ordre, de la sensation d'ensemble.
Réflexion sur la massification, la customization, la série, l'original,
le contemporain et son esthétique,
une critique de nos choix contraints,
faisant apparaitre le dérisoire de nos vies.
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Par Anthropia le 2 Octobre 2009 à 10:33
M/M (Paris)
Lettres-tabourets L.A.S.U.i.T.E. (détail)
Extraits de la phrase Just like an ant walking on the edge of the visible
Galerie Air de Paris
Crédit photo Anthropia
La Galerie Air de Paris présente une série d'oeuvres,
qui vont se succéder jusqu'à la fin de l'année,
dans ce qu'elle a appelé Une suite,
un concept entre suite d'hôtel confortable
proposé comme écrin à ses artistes reconnus,
comme Liam Gillick, Trisha Donnelly, Allan McCollum
et Allen Ruppersberg, Joseph Logan,
ou encore Wade Guyton, mais aussi à d'autres artistes invités,
et train d'oeuvres, où s'accrochent à la queue-leu-leu des oeuvres,
qui ont pour point commun la notion de suite, au sens de série,
de continuité ou des lettres de l'alphabet.
Comme ici, les pieds de tabourets, sorte d'hologramme, partie pour le tout,
qui composent le mot L.A.S.U.i.T.E. à partir d'une phrase,
Just like an ant walking on the edge of the visible,
à la manière d'un Lyotard commentant les plis d'un tissu
sous le vent du désir, faisant apparaitre un Rêvons d'or,
dans les replis d'une banderole affichant Révolution d'octobre.
il y a dans le L.A.S.U.i.T.E. quelque chose qui échappe, qui fuit.
Liam Gillick dit que l'oeuvre doit "faire l'image d'abord,
et que cela oeuvre au développement d'une série de concepts",
et c'est le sentiment qu'on a dans cette installation subtile
de la Galerie Air de Paris.
Prière d'accepter l'angoisse de ne pas comprendre tout de suite,
prière d'accepter ce double déclenchement de la compréhension sensible,
l'oeuvre se donne à voir, interrogation, est-ce que je vois ce que je vois,
puis on entre dans un océan, un enchevêtrement d'idées,
un peu à la manière de cette époque,
qui sème la confusion dans nos esprits, mais qui génère la vie.
Une exposition qui hydrate, qui irrigue, qui stimule,
qui donne envie de créer à notre tour et à la suite...
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Par Anthropia le 25 Septembre 2009 à 18:40
Liu Bolin
QMR
Crédit photo Anthropia
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